fort
Je vous emmène à travers mes vidéos découvrir mon expérience acquise depuis plus de 30 ans a silloner le globe entier à la recherche de pierres précieuses, de rencontre mémorables mais aussi de difficulté parfois …
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marcassite
Identifiée en 1845 par von Raidinger, elle avait été trouvée différente de la pyrite par René-Just Haüy dès le début du XIXème siècle. Son nom vient soit de l’arabe ou du maure pour signifier qu’elle a un aspect métallique de couleur jaune. C’est un sulfure
kornerupine
Minéral rendant hommage au jeune géologue danois Andréas N. Kornerup (1857-1881) qui la découvrit au Groenland. Parfois elle peut présenter un chatoiement de type « œil de chat ». Souvent brune et foncée, de belles variétés jaune-vert proviennent du Sri-Lanka et on a maintenant découvert des variétés
heterosite
Son nom vient du grec « hetero », autre, car sur le même gisement elle aurait été le deuxième minéral contenant du manganèse à avoir été découvert. Elle forme une série avec la purpurite, le pôle ferrifère de ce phosphate étant l’hétérosite te le pôle manganifère la
epidote
Son nom vient du grec «epidosis» pour généreux, qui fait des largesses, allusion à sa forme cristalline qui est une juxtaposition de nombreux prismes élancés. Son ancien nom, pistachite, évoquait sa couleur. On distingue plusieurs variétés : La variété clinozoïsite, est un dimorphe de la
dumortierite
Son nom rend hommage à Eugène Dumortier, un paléontologue lyonnais (1802-1873). On la rencontre le plus souvent en inclusions dans le quartz qui s’appelle alors « aventurine bleue ».